Ajax
Ajax médite son suicide. Il réalise que seule la mort peut le sauver. Il médite sur un rocher, désespéré. Son coude posé sur le genou, son poing sur le visage, comme seul obstacle pour le maintenir sur la voie, l’empêchant de sombrer de l’autre côté, comme une main des dieux qui se tend vers lui. La chute est imminente, mais le poing posé sur sa joue empêche son esprit de sombrer dans la dépression. Ajax adopte ici la posture caractéristique du mélancolique.